L'ami et le bonheur

Il pleut encore.

Et sous cette pluie, mon esprit me dit que j'écris.

C'était il y a quelques semaines lorsque j'ai écrit sur notre courte rencontre avec mes amis. Et il pleuvait cette fois-là.

Cet après-midi, nous sommes partis de la maison pour aller acheter les besoins de mes enfants en vue de cette année scolaire.

Malgré la pluie battante, nous avons quand même osé aller en ville.

Nous avons acheté deux pantalons pour mon aîné. Et un sac qui pourrait abriter toutes ses fournitures scolaires.

Nous sommes allés chez le coiffeur. Coupe semi-haute, nous l'avons dit aux barbiers pour mes deux garçons. Ma petite fille parcourait les environs en attendant ses frères.

Oh, nous sommes allés directement manger avant d'acheter leurs affaires. Seulement du café pour moi pendant qu'ils se livraient à des spaghettis, du poulet et des frites.

Ensuite, après l'achat, nous avons de nouveau acheté un hamburger, du siomai et des boissons pour les accompagner.

Nous étions près du véhicule quand j'ai pensé à écrire. Par hasard, il pleuvait. Et d’une manière ou d’une autre, cela déclenche l’écriture de cet ermite frustré.

Eh bien, les derniers jours n'ont pas été très bons pour moi. Et malgré la surcharge d'invites d'écriture qui me dérangeaient, je n'ai rien pu écrire.

J'avais tellement mal et j'ai toujours mal maintenant. Même si cela a un peu diminué.

Comment quelqu’un qui est censé vous respecter peut-il faire les choses laides qu’il vous fait ?

Comment peut-il trahir votre confiance, vous laissant vulnérable à la réflexion excessive et à la tristesse ?

L'alcool a été mon compagnon. Cela a temporairement atténué la douleur, mais cela ne l'a pas effacé.

J'ai continué à remettre en question et à sonder l'inconnu. Secouant mes doutes, soupirant de douleur.

La vérité ne peut pas être désappris. Cela ne peut qu’être accepté.

Mais accepter la vérité était plus difficile que je ne le pensais.

J'ai l'air d'aller bien un instant. La prochaine chose que je deviens fou avec mes pensées.

J'ai toujours pensé que j'étais cool avec quoi que ce soit. Mais face à une tournure inattendue des événements, je ne pouvais pas croire que j'étais comme la fille normale à laquelle je n'aurais jamais pensé ressembler.

Parce que encore une fois, je pensais que j'étais cool.

Je pensais que j'étais compréhensif même au point de comprendre que quelqu'un fasse les choses blessantes qu'il m'a fait.

Mais les hommes, j’étais juste un être normal après tout.

Pourtant, il est mystérieux de voir à quel point tout cela m'a rapproché de mon cœur.

D'une manière ou d'une autre, il y a cette gratitude. D’une manière ou d’une autre, je pense que c’est un signal d’alarme.

Réveil pour enfin voir la lumière. La lumière dans la bonne direction que je devrais prendre.

Si ces événements vont faire bouger les choses