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Bonjour Raphaelle.

Sur le point

Pensons-nous à Internet même quand nous ne sommes pas en ligne ?

Je vous trouve un peu dure. La séparation vie "réelle" vie sur "Internet" a assez peu de sens. Si en étant "hors ligne" je pense à votre article, suis-je internet dépendant ?

Idem, lorsque je réfléchis à mon futur article Steemit dans la rue, est-ce bien différent d'écrire pour le journal local ?

Ce que je veux dire par là, c'est que la séparation entre les deux mondes est bien plus floue qu'il y a 10-15 ans.
Néanmoins, vous avez raison l'addiction existe effectivement et des problèmes de communication sont réels et préoccupants.
Mais avant Internet, il y avait d'autres addictions et il en existera toujours. Il "suffit" (facile à dire) de trouver l'équilibre entre nos différentes vies.

Merci pour votre partage.

Merci pour cette réponse! En effet, la séparation entre ces deux "mondes" est de plus en plus floue... D'où la raison pour laquelle je me suis penchée sur la question;) Mais vous avez raison, je pense, en ce sens : tout dépend de l'utilisation et surtout... des utilisateurs! J'imagine que quand cela devient trop, il y a des signes: à commencer peut-être par les plaintes de notre entourage... Question d'équilibre, eh oui;) Merci!

Certes, nous passons certainement beaucoup trop de temps sur le net, mais pour quelle raison ?

Je pense que l’outil internet est avant tout un couteau suisse virtuel, il nous permet de dialoguer, d’échanger, de travailler, de créer, de s’informer, de se former.
Lorsque l’on parle d’une personne addict au web, on pense souvent au Geek qui joue en ligne, ou encore aux réseaux sociaux et au dialogue virtuel.
Il existe une infinie possibilité d’utilisation du web en dehors de ces deux cas très ciblés.

Aujourd’hui, certaines personnes travaillent uniquement par internet, les connexions se créent à distance là où il fallait par le passé se déplacer de plus centaines de kilomètres, pour une simple réunion.
Les activités de trading ou de vente ont été boostées par ce moyen.

À l’époque une personne seule d’un certain âge, n’avait qu’un cercle limité pour rencontrer sa moitié (les amis, le travail). Aujourd’hui cette même personne peut échanger à distance dans un premier temps et toucher des prétendant(e)s en dehors de ce cercle limité.

Il ne faut pas oublier de vivre et ne pas se cacher dans un monde virtuel, mais internet fais aujourd’hui partie de nos vies, à nous de le limité à un outil qui facilite notre quotidien.

Oui, voilà qui est bien résumé!;)

Coucou @raphaelle contente de lire un article en FR de qualité !! Il y'en a de plus en plus et c'est agréable à constater.

Je ne suis jamais tombée sur toi ici sur Steemit, pourtant tu es sur Steemit depuis biiiiennnn plus longtemps que moi. Comme quoi le #fr a du bon. Je n'ai pas encore pris le temps de faire un tour sur ton blog. Mais je te follow dans l'espoir de te lire plus souvent.

Tu nous as déjà rejoins sur Discord ? Si oui fais nous signe, sinon je t'invite à jeter un oeil à @francosteemvotes c'est une initiative de @ixindamix à laquelle participe plusieurs Steemers comme @evildido , @roxane , @kingswisdom et pleins d'autres encore.

https://steemit.com/fr/@roxane/francophones-rejoignez-nous-sur-le-salon-discord je te laisse ici un article de @roxane qui t'expliquera tout ce que tu dois savoir sur notre Discord ;-) et je te dis à très bientôt !!

Merci pour cet accueil! En effet, je suis sur steemit depuis un moment car j'avais posté une nouvelle, un peu par jeu! Mais sachant qu'une communauté francophone semblait motivée, je suis de retour! Merci pour les liens, je vais découvrir tout ça avec plaisir!

beaucoups de bon sens pour ne pas dire que c'est aussi beaucoup de lieux communs.
En france la couverture du réseau national, c'est 84% du territoire. Et crois moi les 16% restant, on a pas vraiment envie d'y habiter.

Est ce qu'il serait pas judicieux de se dire, que cette drogue est aujourd'hui notre quotidien, comme avoir de l'eau chaude à la maison ? Et que par contre, un accomodement est nécessaire ? Une apprentissage de la technologie, justement pour ne pas en être prisonnier (notemment, concernant la protection de la vie privé) ?

Hello Siavach! Merci pour ta réponse;) Je ne pourrais pas non plus me passer de réseau;)
Perso, mon équilibre c'est bouger, partager une vie active avec les amis, la famille, les collègues... la nature... et une place limitée pour le Net;)

Merci pour cet article de qualité ! Nous sommes peut-être déjà tous des zombies d' internet D: , c'est vrai qu' il prends beaucoup de place. Mais à l' invention du livre, c' était pareil ?" Arrête de passer trop de tant sur tes livres, reviens au réel "

Hello Zonguin! Merci à toi! Je ne comparerais pas les livres à Internet, même si des lecteurs passionnés peuvent y passer du temps. Autant j'ai l'impression qu'on peut perdre des heures à bivouaquer sur le net, autant un livre emmène dans une histoire, un univers, avec un début et une fin. Le livre: univers de l'imaginaire (ou de l'auto-biographie), le Net: tellement plus vaste... de quoi s'y perdre?

Je me tue à le dire à mes proches que nous passons trop de temps sur les écrans. Bravo pour l'article.

Merci, Monsieur sociopathe! A bientôt!

Un gros problème du côté addictif des réseaux sociaux, c'est que ça a un impact négatif sur notre productivité.
On passe beaucoup de temps à réagir rapidement sur Facebook ou Twitter, on passe aussi beaucoup de temps à absorber des informations superflues... ce qui fait qu'on gaspille énormément de temps chaque semaine.

Tout à fait d'accord! C'est vraiment ce que je vis aussi de mon côté: intriguée par un article ou l'autre sur facebook (par exemple), je perds parfois un temps fou! Selon moi, l'intérêt d'en prendre conscience, c'est qu'on peut mettre des choses simples en place pour ne pas se faire "bouffer";) La vie est courte, dit-on...

Les addictions ont toujours existé dans toutes ces formes possibles. Toutefois, nous sommes d'accord sur un point : Savoir faire la part des choses ! Upvoté à 100% !

Merci! Tout à fait d'accord, nous sommes tous dépendant de quelque chose;)

Ce post de qualité a été découvert par l'équipe OCD!

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Bonne chance !

J'accepte;) Merci à vous!

Concernant tes 4 questions, il faut peut-etre distinguer ceux qui passe leur journee connectes car il s'agit de leur travail. Dans ce cas la, les reponses meneront a 'addiction' alors que ce n'est pas necessairement le cas. Rien n'empeche dans ce cas d'etre classe addictif et de satisfaire quasi toutes les pistes que tu indiques.

PS: un des meilleurs articles en francais que j'ai eu le loisir de lire (sur Steemit) depuis un certain temps.

Bonjour Lemouth... enchantée;) Je réponds un peu tard, je reviens de Steemfest! Merci pour ton commentaire;) Dans le cas des "hyper connectés" pour raison professionnelle, je pense bien qu'il doit exister quelques "workaoliques", mais fort heureusement ce n'est pas le cas pour la plupart d'entre nous. Etonnament, depuis que j'ai écrit l'article, je me suis moins connectée à mes petites machines chéries!

Enchante egalement! (premiere fois que l'on me dit bonjour en commentaire au fait :D)

Concernant les 'workaoliques'? Oui c'est tout moi ca, tout comme de nombreux collegues. Je travaille environ 70 heures par semaine... mon travail est mon hobby, que veux-tu ;)

J'espere que tu t'as bien profite de steemfest. C'etait impossible pour moi (les vacances scolaires, et donc la famille, c'est sacre). La prochaine edition peut-etre :D