Monsieur Gopinath Jeyabalaratnam, attaché politique du ministre des finances, PRENEZ-MOI PAS POUR UN CAVE !
Ceci fait suite à la réponse INACCEPTABLE de MONSIEUR GOPINATH JEYABALARATNAM, attaché politique du ministre des finances MONSIEUR CARLOS LEITAO, à la DEMANDE FORMELLE D'INTERVENTION de la Sûreté du Québec - vs - Revenu Québec suivante :
https://steemit.com/surety/@willbed/demande-formelle-d-intervention-de-la-surete-du-quebec-vs-revenu-quebec
Vous n'avez qu'à lire, vous comprendrez pourquoi ses 9 lignes de texte n'étaient que de la bullshit INTOLÉRABLE de la part de ce qui semble être UNE AUTRE POURRITURE de FIDUCIAIRE PUBLIQUE.
OH et YESSIR TOASTER : ce MONSIEUR JEYABALARATNAM se PAYE VOTRE gueule à même du cash volé de VOS POCHES !
ADMINISTRATION
[adresse]
[adresse]
Québec, le 7 mars 2017
TOUS DROITS RÉSERVÉS - SANS PRÉJUDICE
COURRIER RECOMMANDÉ POSTES CANADA RN214262599CA
MINISTRE DES FINANCES
ATT : M CARLOS LEITAO
12, rue Saint-Louis, 1er étage
Québec QC G1R5L3
OBJET : VOTRE LETTRE DATÉE DU 21 FÉVRIER 2017
PIÈCE JOINTE : VOTRE LETTRE DATÉE DU 21 FÉVRIER 2017, CORRIGÉE, INACCEPTABLE
PIÈCE JOINTE : VOTRE ENVELOPPE
INTERPRÉTATION :
Les définitions qui suivent s'appliquent à cette communication.
"je" et/ou "j'" : incluent MOI, l'HOMME et excluent la PERSONNE et/ou ENTITÉ LÉGALE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE
"mon" et/ou "ma" et/ou "mes" et/ou "me" et/ou "m'" : À MOI, l'HOMME et non PAS à la PERSONNE et/ou ENTITÉ LÉGALE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE.
Cher attaché politique Gopinath Jeyabalaratnam,
VOUS avez transmis une lettre datée du 21 février 2017 et adressée à "Madame, Monsieur".
Par cette lettre, VOUS semblez prétendre "[avoir] pris bonne note du contenu [des] lettres du 10 et du 15 février".
S'il était VRAI que VOUS aviez pris bonne note du contenu de ces lettres, VOUS devriez déjà savoir que je suis l'HOMME qui a DROIT à la SÛRETÉ de la PERSONNE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE, dont le numéro d'inscription est 119XX04XXXXXX.
Je suis effectivement d'avis qu'il était ON NE PEUT PLUS CLAIR, dans les communications COURRIER RECOMMANDÉ POSTES CANADA RN214262497CA et RN214262545CA que MOI L'HOMME ne suis PAS "Madame" et que MOI L'HOMME ne suis PAS "Monsieur" et que MOI L'HOMME ne suis PAS VOTRE subordonné et que MOI L'HOMME ne VOUS laisserai PAS me réduire à un niveau d'ESCLAVE et/ou de PROPRIÉTÉ vs VOUS.
Par cette même lettre, datée du 21 février 2017, VOUS dites aussi "vos lettres" et "votre" dossier" et "votre envoi" et "nous vous assurons" et "nous vous prions"...
DITES-MOI, qui et/ou quoi est et/ou êtes ce "VOUS" auquel VOUS faites référence ???
Je suis effectivement d'avis qu'il était ON NE PEUT PLUS CLAIR, dans les communications COURRIER RECOMMANDÉ POSTES CANADA RN214262497CA et RN214262545CA, que MOI L'HOMME ne suis PAS au pluriel et/ou une ORGANISATION et/ou une PERSONNE et/ou la SÛRETÉ pour une PERSONNE et que MOI L'HOMME n'accepte PAS les COURTOISIES ou que quiconque tente de m'attribuer la PERSONNALITÉ et/ou la SÛRETÉ en FRAUDE de mes DROITS.
PRENEZ DONC BONNE NOTE QUE MOI L'HOMME n'accepte PAS que VOUS VOUS adressiez à MOI ainsi, et conséquemment, VOTRE lettre du 21 février 2017 VOUS est retournée, corrigée, parce qu'inacceptable.
Dailleurs si, tel que VOUS le prétendiez, VOUS deviez avoir pris bonne note du contenu de [ces] envois,
VOUS devriez avoir très bien COMPRIS que les lettres du 10 et du 15 février ne concernaient AUCUNEMENT, tel que VOUS semblez le prétendre, un quelconque dossier à REVENU QUÉBEC.
En effet, bien que ces lettres faisaient effectivement référence au dossier à REVENU QUÉBEC de la PERSONNE à la SÛRETÉ de laquelle MOI L'HOMME ai DROIT, ces lettres concernaient en fait la RECONNAISSANCE - et/ou la persistance à REFUSER de RECONNAÎTRE - par REVENU QUÉBEC et ses AGENTS, des DROITS FONDAMENTAUX qui constituent le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX. Ne VOUS trompez surtout PAS à ce sujet.
EN EFFET - ET SOYEZ AVISÉ QUE - TOUTE RÉFÉRENCE, de VOTRE part, à TOUT AUTRE SUJET que MON DROIT, à MOI L'HOMME, à la SÛRETÉ de la PERSONNE que MOI L'HOMME POSSÈDE, ne devrait être interprétée que comme une DISTRACTION INUTILE
ET SOYEZ AVISÉ QUE TOUTE TENTATIVE, de VOTRE part, D'ÉVITER LE SUJET DU DROIT FONDAMENTAL À LA SÛRETÉ DE LA PERSONNE DEVRAIT ÊTRE ET SERA INTERPRÉTÉE COMME UNE TENTATIVE DE FRAUDE, COMMISE PAR VOUS, ET DEVRAIT ET SERA TRAITÉE COMME TEL.
Et si, tel que VOUS le prétendiez, VOUS aviez pris bonne note du contenu de [ces] envois,
VOUS devriez avoir très bien COMPRIS que des RÉPONSES sont TOUJOURS REQUISES à des QUESTIONS et/ou DEMANDES qui ont DÉJÀ, à de NOMBREUSES REPRISES, été adressées à REVENU QUÉBEC et/ou au ministre des finances et/ou à d'autres FIDUCIAIRES PUBLIQUES et que TOUS avez DÉSHONORABLEMENT OMIS et/ou REFUSÉ de fournir ces réponses.
VOUS pouvez dailleurs sans doute constater que le cabinet du ministre des finances a déjà reçu de nombreuses communications à ce sujet et VOUS pouvez aussi sans doute constater que le cabinet du ministre des finances a IGNORÉ et/ou NÉGLIGÉ et/ou REFUSÉ de donner suite à chacune de ces communications, avant VOTRE lettre datée du 21 février 2017.
Et si, tel que VOUS le prétendiez, VOUS aviez pris bonne note du contenu de [ces] envois,
VOUS devriez avoir très bien COMPRIS qu'il semble raisonnable de croire que MONSIEUR CARLOS LEITAO COMPREND très bien ces demandes et/ou questions auxquelles MOI L'HOMME SOUHAITE que des réponses soient fournies par quiconque pourrait prétendre que la PERSONNE - à la SÛRETÉ de laquelle MOI L'HOMME ai DROIT - pourrait avoir quelque dette envers l'état et/ou des AGENCES et/ou ORGANISATIONS mandatées par l'état,
et VOUS devriez avoir aussi très bien COMPRIS que les RÉPONSES REQUISES - qui n'ont toujours PAS été transmises - devraient déjà avoir été transmises depuis de nombreux mois - par MONSIEUR CARLOS LEITAO et/ou son cabinet et/ou un AGENT et/ou une AGENCE MANDATÉ(E) pour le faire et que ces réponses sont toujours attendues de sa part et/ou de la part de son cabinet et/ou d'agents et/ou agences mandatées pour le faire.
Si, aussi DÉSHONORABLEMENT que cela devrait l'être, MONSIEUR CARLOS LEITAO devait prétendre ne PAS COMPRENDRE ces questions et/ou demandes, MONSIEUR CARLOS LEITAO n'aurait qu'à transmettre une DÉCLARATION écrite et signée à cet effet et je cesserais de lui DEMANDER de fournir ces réponses.
PAR CONTRE, si une telle déclaration devait être faite par MONSIEUR CARLOS LEITAO, je souhaiterais évidemment qu'il précise clairement comment il pourrait prétendre avoir les compétences pour occuper son office et/ou quelqu'AUTORITÉ pour saisir des sommes d'argent, malgré une prétendue INCAPACITÉ à fournir les réponses à des demandes et/ou questions qui concernent un DROIT dont la RECONNAISSANCE doit constituer le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX et qui semble protéger les HOMMES et les FEMMES honnêtes contre l'ESCLAVAGE FINANCIER qu'est la dette publique et/ou contre la corruption et/ou les parasites qui utilisent l'état pour abuser des HOMMES et des FEMMES honnêtes.
Aussi, par VOTRE lettre du 21 février, VOUS faites référence à un "Bureau de la protection des droits de la clientèle de Revenu Québec" pour un "suivi approprié".
DITES-MOI, MONSIEUR GOPINATH JEYABALARATNAM,
est-ce que VOUS me prenez pour un imbécile ???
ET DITES-MOI, MONSIEUR GOPINATH JEYABALARATNAM,
c'est quoi cette FARCE de ne ne PAS ASSURER VOUS-MÊME un "suivi approprié" et de plutôt transmettre la RESPONSABILITÉ et/ou la SÛRETÉ dans cette affaire à un "Bureau de la protection des droits de la clientèle" d'un AGENCE qui a déjà PROUVÉ, à de nombreuses reprises au cours des dernières années, qu'elle et ses AGENTS, qui semblent pourtant RÉPONDRE du MINISTRE DES FINANCES, ne sont PAS dignes de CONFIANCE pour fournir ces réponses ???
ET DITES-MOI, MONSIEUR GOPINATH JEYABALARATNAM,
est-ce que VOTRE INTENTION est de me faire perdre mon temps ???
ET DITES-MOI, MONSIEUR GOPINATH JEYABALARATNAM,
est-ce que VOUS prétendez qu'il pourrait être du DEVOIR d'un "bureau de REVENU QUÉBEC" d'ASSURER que REVENU QUÉBEC RECONNAISSE et RESPECTE les DROITS qui sont le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX ???
ET DITES-MOI, MONSIEUR GOPINATH JEYABALARATNAM,
est-ce que VOUS prétendez vraiment, sérieusement, qu'un "bureau de REVENU QUÉBEC" pourrait être digne de CONFIANCE ???
ET DITES-MOI, MONSIEUR GOPINATH JEYABALARATNAM,
est-ce que VOUS prétendez que VOUS et/ou le ministre des finances et/ou ses AGENTS, êtes, VOUS-mêmes, dignes de CONFIANCE ???
PARCE QUE j'ai d'excellentes raisons de croire que MONSIEUR CARLOS LEITAO possède les connaissances et les compétences, ou les ressources nécessaires, pour fournir ces réponses
JE DEMANDE FORMELLEMENT QUE LE CABINET DU MINISTRE FOURNISSE ou S'ASSURE QUE SOIENT FOURNIES, DANS LES DIX (10) JOURS, LES RÉPONSES REQUISES aux questions et/ou demandes qui lui sont adressées.
Il semble dailleurs clairement prétendu que "Les services offerts par le Bureau de la protection des droits de la clientèle s'adressent à toutes les clientèles de Revenu Québec : les citoyens, les entreprises et les représentants professionnels."
DITES-MOI, MONSIEUR GOPINATH JEYABALARATNAM,
n'ai-je PAS été assez clair sur le fait que je suis tout simplement un HOMME, rien d'autre qu'un HOMME, et qu'il semble que MOI L'HOMME ai DROIT à la SÛRETÉ d'une PERSONNE et que je SOUHAITE que ce DROIT soit RECONNU et RESPECTÉ ?
ET DITES-MOI, MONSIEUR GOPINATH JEYABALARATNAM, se semble-t-il PAS clair qu'un HOMME ne fasse PAS partie de la "clientèle de Revenu Québec" ?
SACHEZ QUE MOI L'HOMME ne suis PAS un "CITOYEN" ;
Il semble que la PERSONNE à la SÛRETÉ de laquelle MOI L'HOMME ai DROIT pourrait être un "citoyen" et/ou avoir une "citoyenneté".
Si j'ai pu et/ou si quiconque a pu VOUS porter à croire que MOI L'HOMME pourrais être un "citoyen" et/ou cette PERSONNE à la SÛRETÉ de laquelle j'ai DROIT, ce serait une FAUTE et je VOUS demanderais de me pardonner.
Si la PERSONNE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE devait être un "CITOYEN", et si MOI L'HOMME ai effectivement DROIT à la SÛRETÉ de cette PERSONNE, je SOUHAITERAIS que VOUS fournissiez, dans les dix (10) jours, les réponses requises aux questions auxquelles des réponses sont effectivement REQUISES de VOTRE part ;
à défaut de quoi il semblerait clair, hors de tout doute, que le ministre des finances REFUSE EFFECTIVEMENT et INTENTIONNELLEMENT de RECONNAÎTRE et/ou RESPECTER les DROITS dont la RECONNAISSANCE doit constituer le fondement de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX,
et il semblerait que cela pourrait être un MANQUEMENT à son SERMENT D'OFFICE.
SACHEZ QUE MOI L'HOMME ne suis PAS une "ENTREPRISE" ;
Il semble que la PERSONNE à la SÛRETÉ de laquelle MOI L'HOMME ai DROIT pourrait avoir un "numéro d'entreprise".
Si j'ai pu et/ou si quiconque a pu VOUS porter à croire que je pourrais être une "entreprise" et/ou cette PERSONNE à la SÛRETÉ de laquelle j'ai DROIT, ce serait une FAUTE et je VOUS demanderais de me pardonner.
Si la PERSONNE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE devait être une "ENTREPRISE", et si MOI L'HOMME ai effectivement DROIT à la SÛRETÉ de cette PERSONNE, je SOUHAITERAIS que VOUS fournissiez, dans les dix (10) jours, les réponses requises aux questions auxquelles des réponses sont effectivement REQUISES de VOTRE part ;
à défaut de quoi il semblerait clair, hors de tout doute, que le ministre des finances REFUSE EFFECTIVEMENT et INTENTIONNELLEMENT de RECONNAÎTRE et/ou RESPECTER les DROITS dont la RECONNAISSANCE doit constituer le fondement de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX,
et il semblerait que cela pourrait être un MANQUEMENT à son SERMENT D'OFFICE.
SACHEZ QUE MOI L'HOMME ne suis PAS un "REPRÉSENTANT PROFESSIONNEL".
Si j'ai pu et/ou si quiconque a pu VOUS porter à croire que je pourrais être un "représentant professionnel", ce serait une FAUTE et je VOUS demanderais de me pardonner.
Si la PERSONNE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE devait être un "PEPRÉSENTANT PROFESSIONNEL", et si MOI L'HOMME ai effectivement DROIT à la SÛRETÉ de cette PERSONNE, je SOUHAITERAIS que VOUS fournissiez, dans les dix (10) jours, les réponses requises aux questions auxquelles des réponses sont effectivement REQUISES de VOTRE part ;
à défaut de quoi il semblerait clair, hors de tout doute, que le ministre des finances REFUSE EFFECTIVEMENT et INTENTIONNELLEMENT de RECONNAÎTRE et/ou RESPECTER les DROITS dont la RECONNAISSANCE doit constituer le fondement de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX,
et il semblerait que cela pourrait être un MANQUEMENT à son SERMENT D'OFFICE.
SACHEZ QUE MOI L'HOMME ne suis PAS un "client" de REVENU QUÉBEC.
Si j'ai pu et/ou si quiconque a pu VOUS porter à croire que je pourrais être un "client de REVENU QUÉBEC", ce serait une FAUTE et je VOUS demanderais de me pardonner ;
Si la PERSONNE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE devait être "CLIENTE" de REVENU QUÉBEC, et si MOI L'HOMME ai effectivement DROIT à la SÛRETÉ de cette PERSONNE, je SOUHAITERAIS que VOUS fournissiez, dans les dix (10) jours, les réponses requises aux questions auxquelles des réponses sont effectivement REQUISES de VOTRE part ;
à défaut de quoi il semblerait clair, hors de tout doute, que le ministre des finances REFUSE EFFECTIVEMENT et INTENTIONNELLEMENT de RECONNAÎTRE et/ou RESPECTER les DROITS dont la RECONNAISSANCE doit constituer le fondement de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX,
et il semblerait que cela pourrait être un MANQUEMENT à son SERMENT D'OFFICE.
Parce que MOI L'HOMME ai un DROIT qui - que cela VOUS plaise ou PAS - a préséance sur toutes les autres lois, à la SÛRETÉ d'une PERSONNE à laquelle REVENU QUÉBEC semble réclamer des sommes d'argent en vertu de lois qui ne doivent être applicables que CONDITIONNELLEMENT à la RECONNAISSANCE PRÉALABLE et au RESPECT, par REVENU QUÉBEC, de ce DROIT que REVENU QUÉBEC persiste, malhonnêtement et/ou hostilement et/ou frauduleusement, à REFUSER de RECONNAÎTRE et/ou RESPECTER,ET parce qu'il semble que le ministre des finances a prêté serment - a fait la PROMESSE - de RECONNAÎTRE et RESPECTER la Charte des droits et libertés de la personne (ci-après "la Charte"), la LOI FONDAMENTALE au Québec.
MOI L'HOMME SOUHAITE que VOUS et/ou le ministre des finances et/ou REVENU QUÉBEC et/ou TOUS LES AUTRES FIDUCIAIRES PUBLIQUES RESPECTIEZ CE DROIT, que VOUS DEVEZ RECONNAÎTRE et dont la RECONNAISSANCE constitue le FONDEMENT de la JUSTICE, de la LIBERTÉ et de la PAIX.
DITES-MOI, SERAIT-CE TROP VOUS DEMANDER ??? OUI ou NON ???
ET JE VOUS DEMANDE DONC FORMELLEMENT de VOUS ASSURER que soient transmises, SANS FAUTE, dans les dix (10) jours, SOIT par le ministre des finances ou SOIT par un AGENT ou SOIT par un SOUVERAIN ou SOIT par quiconque devrait être MANDATÉ pour fournir les réponses à ces questions et/ou demandes,
TOUTES LES RÉPONSES REQUISES, CLAIRES ET PRÉCISES ET COMPLÈTES AUX QUESTIONS SUIVANTES :
Est-ce que la SÛRETÉ, à laquelle MOI L'HOMME ai un DROIT FONDAMENTAL, de la PERSONNE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE peut faire, avec les dettes publiques qui sont adressées à cette PERSONNE, ce qu'une SÛRETÉ doit LÉGALEMENT FAIRE ? OUI ou NON ?
SI CETTE SÛRETÉ, À LAQUELLE MOI L'HOMME AI UN DROIT FONDAMENTAL, PEUT FAIRE CE QU'UNE SÛRETÉ DOIT LÉGALEMENT FAIRE,
JE SOUHAITE QUE CETTE SÛRETÉ FASSE CE QU'UNE SÛRETÉ DOIT LÉGALEMENT FAIRE
ET JE SOUHAITE QUE VOUS TRANSMETTIEZ, DANS LES DIX (10) JOURS, PAR UNE DÉCLARATION ÉCRITE ET SIGNÉE, la méthode reconnue et acceptée par REVENU QUÉBEC et/ou le MINISTRE DES FINANCES pour que cette SÛRETÉ, à laquelle MOI l'HOMME ai un DROIT FONDAMENTAL, fasse, avec les dettes publiques que REVENU QUÉBEC et/ou le MINISTRE DES FINANCES adresse à cette PERSONNE, ce qu'une SÛRETÉ doit LÉGALEMENT faire, en RESPECT de mes DROITS.
SI CETTE SÛRETÉ NE PEUT PAS FAIRE, AVEC CES DETTES PUBLIQUES, CE QU'UNE SÛRETÉ DOIT LÉGALEMENT FAIRE, JE SOUHAITE SIMPLEMENT qu'il soit DÉCLARÉ, par écrit, dans les dix (10) jours :
- SOIT que cette SÛRETÉ ne peut PAS faire ce qu'une SÛRETÉ DOIT LÉGALEMENT faire ;
- ou
- SOIT que REVENU QUÉBEC et/ou le MINISTRE DES FINANCES n'accepte PAS que cette SÛRETÉ fasse ce qu'une SÛRETÉ DOIT LÉGALEMENT faire ;
- ou
- SOIT que REVENU QUÉBEC et/ou le MINISTRE DES FINANCES ne RECONNAÎT PAS mon DROIT à cette SÛRETÉ ;
- ou
- SOIT que REVENU QUÉBEC et/ou le MINISTRE DES FINANCES ne RESPECTE PAS mon DROIT à cette SÛRETÉ ;
- ou
- SOIT que MOI L'HOMME n'ai PAS DROIT à cette SÛRETÉ ;
- ou
- SOIT que cette SÛRETÉ n'existe PAS ;
- ou
- SOIT que MOI L'HOMME suis un ESCLAVE.
ET SI MOI L'HOMME devais être un ESCLAVE, DITES-MOI de QUI et/ou de QUOI serais-je donc l'ESCLAVE
ET JE PROMET QUE SI MOI L'HOMME devais être un ESCLAVE, JE CESSERAIS D'EXIGER QUE SOIT RECONNU ET RESPECTÉ CE DROIT.
DITES-MOI, EST-IL VRAIMENT TROP VOUS DEMANDER, QUE DE FOURNIR LES RÉPONSES À CES QUESTIONS ??? OUI ou NON ???
DES RÉPONSES À CES QUESTIONS SONT DONC ATTENDUES ET REQUISES DE MONSIEUR CARLOS LEITAO.
ET VOUS ÊTES AVISÉS QU'À DÉFAUT DE FOURNIR CES RÉPONSES DANS LES DIX (10) JOURS, VOUS NE ME LAISSEREZ AUCUN AUTRE CHOIX QUE DE COMPRENDRE QUE VOUS ET/OU MONSIEUR CARLOS LEITAO ET/OU DES MEMBRES DU CABINET DU MINISTRE DES FINANCES REFUSEZ DE RECONNAÎTRE LES DROITS QUI CONSTITUENT LE FONDEMENT DE LA JUSTICE, DE LA LIBERTÉ ET DE LA PAIX ;
ET TOUTE TENTATIVE DE RÉCLAMER ET/OU SAISIR DES SOMMES D'ARGENT À MA PERSONNE DEVRAIT ÊTRE ET SERAIT INTERPRÉTÉE COMME UNE CONFIRMATION DE VOTRE REFUS DE RECONNAÎTRE ET RESPECTER MES DROITS ET/OU COMME UNE VIOLATION DE MES DROITS FONDAMENTAUX ;
ET DES MONTANTS DE 2 000 000.00$CAD DEVRAIENT ÊTRE ET SERAIENT RÉCLAMÉS POUR CHAQUE REFUS DE RECONNAÎTRE ET/OU DE RESPECTER ET/OU POUR CHAQUE VIOLATION DES DROITS DONT LA RECONNAISSANCE DOIT CONSTITUER LE FONDEMENT DE LA JUSTICE, DE LA LIBERTÉ ET DE LA PAIX ;
Confiant que VOUS COMPRENEZ très bien les questions auxquelles VOUS DEVEZ répondre,
Si j'ai pu et/ou si quiconque a pu VOUS porter à croire que j'étais un "employé" et/ou un "agent" et/ou un "officier" et/ou "Sa Majesté" et/ou une "organisation" et/ou la "PERSONNE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE" et/ou une entité légale et/ou un "esclave", ce serait une FAUTE, veuillez SVP me pardonner.
Je VOUS demande à nouveau de ne PAS VOUS adresser à MOI en utilisant les termes "Monsieur" et/ou "Madame" et/ou un nom dérivé d'un document publique. VOUS pouvez dire "Will" et/ou "L'HOMME qui a DROIT à la SÛRETÉ de la PERSONNE nommée PRÉNOM NOMDEFAMILLIE" pour VOUS adresser à MOI. Je VOUS demande aussi de ne PAS VOUS adresser à MOI en utilisant le vouvoiement.
Avec respect, honneur, dignité et intégrité,
Par : _ _ _ _ _ (gribouillage) _ _ _ _ _ _ _
Seul Administrateur Autorisé pour la PERSONNE et/ou ENTITÉ LÉGALE nommée (PRÉNOM NOMDEFAMILLE) dont le numéro d’inscription est 119XX04XXXXXX
TOUS DROITS RÉSERVÉS